Marie et Jean-Pierre

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il y a 8 ans

Marie et Jean-Pierre

Entre Marie et Jean-Pierre, ça n’avait pas été un coup de foudre dès le départ.

Mais peu à peu, ils avaient fini par s’apprécier et avaient entamé une relation basée avant tout sur la tendresse et l’affection.

Côté sexe, leur relation était convenable sans être exceptionnelle : Jean-Pierre était moyennement performant. Sa bite était honorablement dans la moyenne, mais il avait parfois du mal à bander vraiment dur, Marie n’avait jamais d’orgasme ainsi.

Par contre, Elle ne se lassait pas de se faire lécher et Jean-Pierre manifestement adorait ça.

Un jour, Jean-Pierre vit sur un forum Internet un dialogue sur le thème des cages de chasteté pour hommes. Il ne savait pas que cela existait et entreprit des recherches. Ce qu’il lut l’excita à un tel point qu’il décida d’en parler à Marie. Au départ peu enthousiaste, Elle se dit « pourquoi pas ? »

Le jour où la CB3000 arriva, Marie changea d’avis complètement : l’idée d’avoir ce pouvoir sur son « homme » la troublait énormément. Quand Elle ferma le cadenas, Elle était trempée d’excitation et Jean-Pierre du aussitôt accéder à sa requête de faire travailler sa langue et de la faire jouir.

Peu à peu, Elle devint « accro » et désormais, exigea de Jean-Pierre qu’il reste en cage 24 heures sur 24. Elle augmenta la durée des périodes de chasteté, constatant que Jean-Pierre changeait de comportement lorsqu’il restait frustré. Alors qu’auparavant, c’était un vrai macho égoïste, il devenait prévenant et attentionné. Elle adorait cela et cela l’incita à ne lui donner que rarement du plaisir.

Elle s’amusait à le frustrer encore plus en s’habillant de plus en plus sexy lorsqu’ils sortaient ensemble, et en privé, mettait des tenues provocantes qui auraient été dignes d’une prostituée. Jean-Pierre la suppliait de le libérer, ce qu’Elle faisait parfois, mais en le regrettant souvent : Jean-Pierre après avoir joui changeait du tout au tout et redevenait égoïste au possible.

Elle espaçait donc autant que possible ses libérations. Quand il la léchait, Elle rêvait qu’elle était pénétrée sauvagement par un mâle en rut qui se servait d’Elle comme de la dernière des salopes. Elle imaginait le même scénario en se caressant et en enfonçant un gode en Elle. Cela ne compensait que peu l’absence de pénétrations, et Jean-Pierre les rares fois où Elle acceptait qu’il vienne en Elle ne la satisfaisait pas vraiment.

Un jour où ils faisaient des courses ensemble, il faisait chaud et Elle s’était habillée en mini, avec un petit top à bretelles fines. Elle savait qu’il adorait la voir sexy et nue sous sa jupe quand il était privé depuis un moment et donc excité. Le regard des autres hommes sur Elle le rendait malade de jalousie et Elle adorait lui infliger cette torture supplémentaire. Elle ne détestait pas d’ailleurs se savoir désirée, même par des inconnus.

Ce jour là, pendant les courses, Elle ne se rendit pas compte qu’un homme en particulier les suivit : c’était un de ses collègues, Harry, qu’Elle aimait bien. Lui ne l’avait jamais vue qu’en jean, et il était stupéfait de la voir ainsi féminine et provocante, en mini, escarpins et caraco sans soutien-gorge. Ce n’était pas la même personne qu’il côtoyait au boulot. Il admira les cuisses fines et les seins menus, malgré tout bien formés et il eut envie d’Elle.

À force de la suivre, Elle le vit. Il s’approcha et constata qu’Elle était rouge de Gêne. Manifestement, si Elle pouvait s’exhiber ainsi devant des inconnus, c’était plus difficile devant quelqu’un qui la connaissait.

• « Je ne te savais pas si jolie Marie » lui dit il en lui faisant la bise. « Ça fait plaisir de te voir si féminine et bien dans ta peau ».

Il avait posé sa main sur son épaule pendant qu’il la bisait, et ce contact sur sa peau la troublait. Elle se savait nue sous sa jupe, et même si il ne pouvait le deviner, Elle se sentait gênée, car très pudique. Le soir même, Elle repensa à cette scène et demanda à Jean-Pierre, toujours en cage, de la lécher.

Un soir, Elle avait décidé d’allumer Jean-Pierre après deux semaines ininterrompues de privation. Elle aimait le voir fou de désir et le laisser sur sa faim. Elle avait décidé que sa seule satisfaction ce soir serait de la lécher et qu’il resterait encore en cage quelques jours. Parfois, Elle était encore plus garce : après l’avoir attaché sur le lit, Elle le libérait de la cage et le masturbait en l’amenant plusieurs fois près de la jouissance, mais sans l’y laisser y accéder. Puis Elle le réenfermait pour plusieurs jours. Ce soir, Elle s’était habillée pour l’occasion : mini noire très très courte, escarpins et un cache-cœur en dentelle.

À la voir vêtue ainsi, il allait faire tout ce qu’Elle voulait et Elle se régalait d’avance de le voir frustré et suppliant. En l’attendant, Elle se connecta sur Internet pour voir ses messages. Elle vit que Harry était connecté aussi et Elle le contacta : il avait pris une journée de congé pour se faire faire un tatouage et Elle voulait savoir comment ça s’était passé, car Elle envisageait de s’en faire faire un au creux des reins.

• « Allume ta Web Cam, je vais te le montrer »

Harry était torse nu, avec juste un pantalon de jogging qu’il descendit un peu pour lui montrer son tribal récent qu’il avait fait faire près du nombril. Marie admira le dessin, mais Elle fut troublée de constater que son copain était plutôt bien baraqué. Oubliant sa propre tenue et la caméra, Elle se leva pour aller chercher ses cigarettes. À son retour Elle vit son copain bouche bée !

• « La vache, tu es vachement bandante ! », s’exclama-t-il.

Confuse, Marie tenta de plaisanter pour cacher son embarras :

• « Montre-moi la preuve » dit Elle, « chiche »

Il se leva devant la webcam, et Elle put constater que son jogging était tendu sur une érection puissante.

• « Tu vois : quand je dis que tu es bandante, je ne plaisante pas. Tu veux être sympa et me remontrer comment tu es habillée ? »

Marie hésita. D’ordinaire, Elle était plutôt pudique, sauf avec son Homme. Mais là, Elle était un peu excitée à voir cette érection qu’elle avait provoquée. Elle se leva donc, et tourna sur elle même, sure de sa beauté.

• « J’adore. Tu as de super jambes dis donc. Ça te va super bien la mini. La vache, je bande comme un vrai bouc ! ça fait 3 mois que je suis célibataire et en manque de nana. Tu ne voudrais pas me montrer tes seins ? », rigola-t-il ?

Marie ne se démonta pas et répliqua sur le même ton :

• « OK si tu me montres ta bite »

• « Chiche ! »

Il descendit son jogging et Elle pu constater de visu : sa bite en érection était agitée de soubresauts et presque verticale tellement elle était tendue.

Marie devint toute rouge : Elle avait dit cela pour plaisanter et ne s’était pas attendue à ce qu’il lui montre réellement. Il devait être plutôt exhibitionniste sur les bords. Elle du s’avouer que Harry pouvait à juste titre être fier de son sexe manifestement très puissant et en plus d’une taille conséquente. Marie se sentit devenir humide, et Elle se rendit compte qu’Elle aurait aimé sentir un tel

membre en Elle.

• « Alors à ton tour : tu me montres tes seins ? »

Marie fit alors quelque chose qu’Elle n’aurait jamais imaginé, Elle se leva et dénoua lentement un des pans de son cache-cœur, exhibant brièvement son sein droit devant la caméra.

• « Superbe ! Magnifique. Je ne te savais pas si jolie ! », complimenta Harry. « Je crois que je vais m’endormir en pensant à toi ce soir, surtout que j’ai enregistré la séquence et que je compte bien me la repasser ».

Marie fut troublée à l’idée que Harry allait se masturber en pensant à Elle. Elle était carrément trempée d’excitation et rouge de confusion.

• « Je dois déconnecter », dit-Elle en tentant de cacher son embarras.

Harry s’inquiéta :

• « Je ne t’ai pas choquée ? Tu as l’air bizarre. »

• « Non, c’est seulement que je ne m’attendais pas du tout à cela, je te laisse à bientôt. »

Un peu plus tard, son trouble s’était un peu dissipé, et quand Jean-Pierre rentra, Marie l’accueillit avec chaleur. Elle s’allongea sur le canapé et lui demanda de la lécher immédiatement. Pendant qu’il s’exécutait avec habileté, Marie pensa à Harry en se disant qu’il était peut-être en train de se masturber en pensant à Elle et cette idée l’excita.

Elle eut son orgasme très vite, et ce fut beaucoup plus intense que d’habitude, mais Elle ne put s’empêcher de se dire que la pénétration lui manquait. Quant à Jean-Pierre, il resta en cage : ce n’était pas sa bite insatisfaisante qui pourrait combler ce manque en Elle.

Le lendemain matin, Harry passa la voir dans son bureau et lui proposa de déjeuner avec lui le midi. Il avait l’air à l’aise contrairement à Marie qui était gênée en repensant à la scène de la caméra. Elle accepta son invitation et il l’emmena avec sa voiture jusqu’à un restaurant. Ils discutèrent de choses sans importance. Il vivait de nouveau seul depuis environ un trimestre ce qui lui convenait très bien, mais par contre il était en manque de sexe.

Au retour, il évoqua la scène de la caméra en la complimentant sur sa beauté

Arrivé sur le parking, il arrêta sa voiture dans un coin discret, et lui montra quelques photos qu’il avait tirées du film qu’il avait enregistré la veille, notamment une où l’on voyait distinctement son sein droit.

• « Surtout, ne montre ça à personne d’autre ! Et je préfèrerais que tu les détruises »

• « Rassure-toi Marie, ce n’est que pour mon usage personnel. Et je te trouve vraiment hyper bandante ! », puis il se pencha vers Elle pour l’embrasser et Elle se laissa faire.

Tout en l’embrassant, il lui prit une main et la posa sur sa braguette.

• « Tu peux constater toi même combien tu me fais bander. »

Marie eut envie de voir et de toucher cette queue si dure, et Elle descendit la braguette pour libérer la bite d’Harry. Elle fut impressionnée par celle-ci : dure comme du bois et bien plus épaisse que celle de Jean-Pierre. Elle ne put résister à l’envie de la prendre dans sa bouche ; et Elle commença à la sucer avidement.

Avant ce jour, Marie n’aimait pas trop la fellation, mais là, Elle prit un immense plaisir à sucer cette si belle queue ; et pour la première fois de sa vie, Elle le fit jusqu’à ce que le sperme se déverse dans sa bouche. Elle l’avala avec gourmandise, chose qu’elle avait toujours refusée auparavant.

Le lendemain, ils déjeunèrent de nouveau ensemble. De retour au parking, il y avait du monde. Harry proposa alors à Marie de « boire un verre » chez lui après le boulot. Marie accepta. Elle savait très bien ce qu’il avait en tête et Elle en avait envie elle aussi.

Une fois chez lui, ils firent l’amour presque bestialement. Harry était particulièrement viril et puissant et Marie sentit monter en Elle un plaisir qu’Elle n’avait jamais connu jusqu’alors.

Harry jouit plusieurs fois en Elle. À chaque fois, dès qu’elle le reprenait dans sa bouche, il redevenait dur comme la première fois. En plus, Elle aimait le goût du sperme qui restait sur sa verge quand il enlevait la capote et Elle le léchait goulûment.

Il la pénétra ainsi sauvagement dans plusieurs positions. Marie sentait en Elle ce membre qui la labourait avec force et puissance et y prit un plaisir intense.

Une fois le stock de préservatifs épuisé. Marie regarda l’heure et se dépêcha de se rhabiller. Elle prendrait une douche chez Elle.

En rentrant, Elle se sentit coupable en embrassant Jean-Pierre, puis se dit qu’après tout, Elle aurait eu tort de se priver. Elle se dit qu’il lui faudrait en parler, n’aimant pas mentir, même par omission. Depuis qu’il était en cage, Jean-Pierre était devenu obéissant. Il faudrait qu’Elle lui impose sa relation avec Harry, et qu’il accepte qu’Elle ait un amant.

Le soir même, Elle exigea qu’il la lèche longuement, et Elle prit un malin plaisir de lui faire lécher son sexe AVANT de prendre sa douche.

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